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Vous etes les bienvenus dans chachita space. Je vous souhaite une agréable visite sur mon espace de détente. Juste pour partager avec vous mes joies et mes peines mes coups de coeur et mes coups de gueules!!!!!!!

Chachita Space

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lundi 11 mai 2009

UN TOUR AU BAZAR DE LA CAPITALE


Le samedi matin est très prisé par les dakarois pour les emplettes. Comme s’ils se passaient le mot pour faire leurs courses en ce début de week-end. Samedi 02 mai il est 10heures au marché Sandaga, cœur du centre ville de Dakar. Sous un soleil ardent, un concert de klaxons animé par les automobilistes coincés dans les embouteillages accueille tous ceux qui viennent s’approvisionner dans le marché le plus populaire du Sénégal où se vendent toutes variétés de produits. Sur le rond point Sandaga, des marchands de chaussures étalent des sandales et des ballerines de toutes couleurs à même le sol et apostrophent les jeunes filles qui passent leur demandant si elles veulent acheter des chaussures. Sur un autre coté du rond point, des vendeurs entassent des sacs de couleurs diverses et en tapant des mains, crient à tue-tête « venez acheter des sacs, le sac de votre choix sac à 3000 francs CFA ». Tout au long des allés étroites qui longent les étals des commerçants, où il faut se bousculer pour pouvoir passer, des marchands ambulants vous interpellent au point de vous agresser pour vous montrer leurs articles : montres ; tee-shirts, pantalons, parfums, colliers, bracelets… et n’hésitent pas à vous accrocher sur les épaules un tee-shirt ou un pantalon vous disant que ça ne coute pas cher. « Ce vendeur est effronté, il veut me veut me vendre cette jupe à un prix trop cher alors que ce n’est que de la fripe » laisse entendre une jeune dame qui discutait le prix d’une jupe et qui apparemment n’est pas d’accord sur la somme que lui a fixée le vendeur qui ne trouvait non plus pas son compte sur le prix que lui proposait la dame. D’autres marchands vous hèlent par un prénom au hasard sans vous connaitre ni d’Adam ni d’Eve pour que vous venez leur acheter leurs produits. Seule une jeune fille figure parmi ces marchands ambulants. De teint clair, elle est habillée d’un jean et d’un tee-shirt noir, de petites gouttes de sueur ruisselaient sur son visage pâli par la fatigue. Elle a un sac au dos et tout un lot de ceintures à la main. « Ces ceintures que vous voyez sont mon gagne pain et je n’ai pas honte d’être la seule vendeuse ambulante du marché » déclare telle. D’un côté isolé du marché, où ne se vendent que des jeans, les marchands se disputent les clientes qui arrivent. Au même moment, les marchandages vont bon train et si les acheteuses conviennent du prix fixé par leur vendeur, elles essayent les pantalons jusqu’à tomber sur un qui leur va net avant de payer. Ce sont les soldes de l’autre coté du marché Sandaga dans les boutiques de chaussures « Kadel » et « Class » qui bordent l’avenue Lamine Gueye. Sur chaque porte de ces magasins tenus par des dames libanaises, une banderole rouge est accrochée à l’entrée pour annoncer les soldes à la clientèle. On dirait que cette dernière a compris le message car elle afflue dans les boutiques. « C’est le dernier jour de solde, il faut en profiter » martèle la gérante d’une des boutiques, la quarantaine bien sonnée, à une dame qui s’en va parce qu’elle trouve que les chaussures sont trop chères alors qu’elles se trouvent être en solde. De plus, vu que ce sont les dernières paires qui restaient, les clientes n’avaient pas trop le choix, soit c’est la couleur qui déplait, soit c’est la pointure qui fait défaut. La plupart des clientes sont accompagnées d’une sœur qui les aide à choisir et à apprécier les chaussures qu’elles essayent. Celles qui sont venues toutes seules n’hésitent pas à demander aux autres acheteuses si les chaussures qu’elles essayent leur vont ou quelle paire choisir lorsqu’elles ont l’embarras du choix. Plus l’heure avance plus il ya du beau monde dans le marché et lorsque 13heures sonnent, les gérants de fast-food qui avoisinent le marché commencent à se frotter les mains car les acheteurs sont épuisés par les va et vient qu’ils font d’un magasin à l’autre et les marchandages. C’est donc l’heure de prendre un petit sandwich et de se désaltérer afin de retrouver ses forces pour continuer ses achats.

dimanche 10 mai 2009

BINGO!!!!! J'ai retrouvé mon portefeuille!!!!!!!!

Je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit vu que mon portefeuille a refusé de réapparaître. Il était huit heures lorsque mon téléphone a sonné: " Nous avons retrouvé ton portefeuille" entendai-je au bout du fil!! La première chose que j'ai faite c'est d'avoir rendu grâce au bon Dieu qui a éxaucé les prières de toute une nuit. Au fait je l'avais laissé sur mon siège dans le bus. Avant de fermer le chauffeur a vérifié si rien ne trainait et il a par hasard trouvé le portefeuille. Vu que histoire d'argent là c'est compliqué, il n'a voulu le confier à personne. Il l'a gardé pour me le remettre le lendemain! Un grand merci à lui. Je salue son honnêteté. Des gens comme lui il y en a pas beaucoup! Que Dieu te bénisse Ousmane

samedi 9 mai 2009

Le moral dans les chaussetes


J'ai perdu mon portefeuille. Nous sommes allés au Méridien ce matin pour les accréditations et puisque le sac de mon ordi était trop lourd je l'ai confié à un camarade qui a bien voulu me le porter. C'est alors que j'ai sorti mon porte-feille car les pièces que je devais montrer étaient à l'intérieur. Après qu'on ait reçu nos badges nous sommes rentrés et je me souvviens être remonté avec le portefeuille dans le bus. Nous sommes retournés à l'école avant de rentrer, je ne sais plus si je suis descendu du bus avec ou pas. J'avais des pièces dns le sac et j'ai payé le transport avec pour retourner à la maison. Jusque là je ne me suis rendu compte de rien. C'est vers 19heures que j'ai eu besoin d'argent et quoi? Le portefeuille n'est pas dans le sac!!! j'ai beau cherché mais rien!! Zuuuttt c'est la panique. Je compose vite le numéro d'un camarade au campus pour qu'il aille me vérifier si je ne l'ai pas oublié dans le bus. 10minutes après je le rappelle, il me dit qu'ils ont fouillé partout mais n'ont rien trouvé. Les larmes ne peuvent s'empêcher de couler!!! Du coup je n'avais plus d'identité car touts mes identifiants y étaient: ma carte d'identité, ma carte de presse, ma carte d'étudiante et 50.000f!! Je suis desespérée et j'ai le moral au plus bas! Si seulement la personne qui l'aurai ramassé me le remettait!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

jeudi 30 avril 2009

QUAND LA RUE DEVIENT UN ABRI

Samedi 26 avril, il est 9h 30mn sur l’avenue de la République à hauteur de la Cathédrale de Dakar. Le centre ville qui d’habitude vibre au rythme du bruit des moteurs de voiture et des klaxons est très calme ce samedi matin. Seulement le bruit de quelques voitures qui passent se laisse entendre. Sur le côté gauche de la clôture de l’église, en face de l’institution Sainte Jeanne d’Arc, se trouve un groupe d’hommes. Les uns handicapés, les autres sans infirmité, du moins sans infirmité visible. Ils sont au nombre de neuf. Les cinq sont allongés sous des couvertures grises pour la plupart, recroquevillés sur eux-mêmes. Les quatre autres sont assis, adossés au mur, entrain de discuter. Ils étaient tous sur des cartons étalés qui leur servaient de matelas. Tout autour d’eux, il ya des seaux, un balai des ustensiles de cuisine (bols, plats, marmites) qui trainent par-ci et par là, des bouteilles d’eaux, des sacs, des fourneaux…. Sur les grilles de la clôture, sont accrochés quelques habits. Il est aussi à noter que les lieux ne sentent pas la rose. Une odeur nauséabonde se dégage de cet endroit peu hygiénique. En face du mur délabré de l’église où ils sont adossés, il ya un arbre tout autour duquel, des chaises roulantes dont des usées sont rangées. A côté de ces chaises roulantes, sont éparpillées des béquilles et des roues usées. Quelques minutes après notre arrivée sur les lieux, un parmi ceux qui dorment vient de se réveiller. C’est un lépreux, il a l’air d’avoir la cinquantaine. Sous nos yeux, il se déplace à l’appui de ses mains et de ses jambes amputées et juste sur le pied de l’arbre, il prend une bouteille d’eau pour se laver le visage. Aussitôt après, il rejoint le groupe des quatre autres qui discutaient. Ils se saluent et se demandent vice versa comment s’est passé la nuit. Lorsque nous avons voulu en savoir plus sur leur présence sur ce lieu l’un d’entre, un handicapé à moitié recouvert et vêtu d’un tee-shirt jaune, du nom de Pathé déclare : « C’est un lieu de rendez-vous pour certains car ils ont des foyers. Ils se retrouvent ici la nuit. Mais pour d’autres c’est par faute de moyens ; moi cela fait plus de vingt ans que je suis ici, j’ai une maison à Fass Mbao et ma femme et mes deux enfants y sont. Le jour je mendie mais je travaille chaque soir comme gardien au café de Rome (restaurant qui se trouve sur l’avenue de lé république à 100m de la Cathédrale) et c’est pendant les week-end que je rentre chez moi ». Ces personnes dans le désespoir passent leur journée ici, les yeux rivés sur les passants dans l’attente d’une âme charitable. Ils déplorent à l’unanimité le fait que le gouvernement ne leur vienne en aide « Dieu sait combien les autorités connaissent nos conditions de vie mais elles ne nous viennent jamais en aide. Pourtant le cortège présidentiel passe chaque jour devant nous » martèle pape diop, un autre handicapé la quarantaine bien sonnée. Pendant qu’il parlait, le reste du groupe acquiesçait en hochant la tête, un autre monsieur lui emboite le pas et ajoute : « De plus à plusieurs reprise, ils (les autorités) nous ont demandé de quitter les lieux parce que ce nous ne donnons pas une bonne image de la capitale et du centre ville de surcroit ». Ces individus en quête de pitance et de braise, se résignent à leur sort et s’en remettent à la volonté divine « Nous n’avons aucun espoir, seul dieu peut nous sortir de notre situation » lâche le plus âgé d’entre eux désespérément. Un phénomène déplorable qui doit être pris à bras le corps par les autorités étatiques parce que l’insécurité et le banditisme gagnent du terrain, d’autant plus que des personnes désorientées qui n’ont plus de repère vivent aussi dans la rue et sont prêts à tout pour assurer leur survie

lundi 20 avril 2009

LES AVOCATS A L’HONNEUR DE L’ELOQUENCE

L’Afrique, l’unité africaine, la solidarité africaine. Voici les axes autour desquels tournaient les différents thèmes abordés par les finalistes du concours d’art oratoire organisé par la Jeune Chambre Internationale ce samedi 18 avril au centre culturel Léopold Sédar Senghor. Cet ancien président dont le centre porte le nom a vu ses mérites, en tant qu’orateur et académicien dont l’éloquence a servi plusieurs causes, vantés par le parrain de la cérémonie Maître Eli Ousmane Sarr. Les concurrents étaient au nombre de 9. 3 étudiants du Cesti : Mabinty Soumah, Aida Dia et Eric Muelle Muelle ; 2 étudiants de l’Ism : Armane Ouatarra et Briss Dié Kouet ; 3 jeunes avocats : Monique Sambou, Bocar Ndao et Adama Fall et enfin 1 membre de la JCI : Pascal Dia. Les candidats n’ont pas seulement parlé de l’Afrique. Ils ont par ailleurs abordé des thèmes tels que : Modèle aujourd’hui, Leader demain ; Be Better ; La Responsabilité Civile et Sociale de l’Entreprise ; Le Monde est-il si juste ?
Les postulants ont eu chacun 7mn pour séduire le public et convaincre le jury. Ils sont notés sur la base de la structuration et du contenu de leur discours, mais aussi relativement à leur manière de s’exprimer, de gesticuler, de regarder le public entre autres.
A la fin de leurs allocutions, en attendant les résultats du jury, le Bâtonnier Maitre Eli Ousmane Sarr, a fait une allocution dont le message fort a été « Il faut avoir l’ambition de l’aigle et planer le plus haut possible et non l’ambition d’un vers de terre ». Tout simplement pour encourager les jeunes à aller de l’avant. Il invite par ailleurs les jeunes à prendre l’exemple de Stephen Hawkins qui malgré une maladie dégénérative qui l’a rendu totalement paralysé et privé de l’usage de la parole est l’un des plus grands écrivains du monde. « Stephen Hawkins est un merveilleux exemple d’un homme plein de courage et de passion. A lui tout seul il est une leçon de vie à retenir »a-t-il dit. D’autres invités tels que le président de l’association des jeunes avocats, et Maitre Konaté, un avocat malien ont aussi pris la parole. Il yen a vraiment eu pour le compte des avocats ce samedi.
Après quelques morceaux de musique que l’animateur a fait passer afin de détendre les candidats qui étaient stressés, le président du jury, Mr Marcelo, s’est avancé pour donner les résultats. Il a d’abord commencé par féliciter tous les candidats qui dans l’ensemble ont été brillants. Pour un concours parrainé par un avocat, il n’est pas étonnant que le major soit un avocat. C’est ainsi que Adama Fall a remporté la première place. Il a reçu un téléphone portable. La deuxième place a été décernée à Armane Ouatarra de l’Ism qui a eu comme prix une imprimante en couleur. La troisième lauréate est Aida Dia du Cesti qui a reçu un bon de restauration pour deux personnes. Chacun des neufs candidats a reçu une attestation de reconnaissance ainsi qu’un tee-shirt.
Après la remise des lots et des attestations aux participants, les membres du jury ont reçu à leur tour des attestations puis chacun d’eux a pris la parole. Ça été l’occasion pour Mamadou ibra Kane, directeur de la Radio Futurs Médias de magnifier la participation des étudiants du Cesti. Un cocktail offert aux invités et au public a mis fin à la cérémonie.

L’ELOQUENCE EST AU RENDEZ-VOUS !


La Jeune Chambre Internationale (JCI) a organisé un concours d’art oratoire. La séance de présélection s’est tenue à l’Institut Supérieur de Management ce mardi 14 avril 2009.
La présélection devait normalement débuter à 18heures. Mais avec les retards elle a finalement commencé à 19heures précises. Les différents candidats sont des étudiants en journalisme, des étudiants en management, des membres de la JCI et des jeunes avocats. A 19heures, le modérateur prend la parole, devant un peu plus d’une cinquantaine de personnes venues soutenir les candidats, pour présenter la présidente de l’association : Marie Adelaïde Dione ainsi que les membres du jury qui sont au nombre de cinq. Après lui, c’est au tour du président du jury de prendre la parole pour expliquer le déroulement de la présélection ainsi que les critères de notation. Les candidats sont notés sur 40 en fonction de la structuration (introduction développement conclusion) et du contenu de leur discours mais aussi relativement à leur manière de s’exprimer, de gesticuler, de regarder le public entre autres.
Les candidats, au nombre de 17 sont répartis en deux groupes : le groupe des étudiants et celui des jeunes avocats et des membres de la JCI. Les postulants ont eu chacun cinq minutes pour convaincre le jury et séduire le public. Ils ont abordé des thèmes suivants : L’autosuffisance alimentaire ; l’intégration africaine ; la diversité culturelle ; femmes et conflits : cas du Rwanda, quelle stratégie pour le développement durable de l’Afrique ? la poésie comme moyen pour s’extérioriser ; l’aide sociale ; la biographie de Mandela ; développement de l’Afrique réalité ou utopie ; action locale impact mondial ; la crise des valeurs ; L’Afrique face au monde quel regard ? ; La responsabilité ; de quoi demain sera fait ? ; Le monde, ses hauts, ses bas, sa justice ; le monde est-il juste ? ; Be better. Certains ont réussi leur plaidoirie mieux que d’autres. Mais dans l’ensemble ils ont été satisfaisants.
A 21heures 30mn, les postulants ont terminé leurs allocutions. Chacun d’entre eux mérite une place en finale mais il faut bien que le jury fasse un choix. C’est ainsi qu’il se rassemble pour délibérer. En attendant les résultats, le modérateur en profite pour faire passer quelques informations. Il a demandé aux candidats qui seront retenus d’être présents à 14heures au centre culturel Léopold Sédar Senghor le samedi 18 avril où se tiendra la finale. Il leur a aussi demandé de s’habiller en tenue de ville. A 21heures 30mn, le jury a délibéré. Il a porté son choix sur 9 candidats : Mabinty Soumah, N’deye Aida Dia et Eric Muellet du Cesti. Armande Ouattara et Briss Kouet de l’Ism ; Pascal Dia de la JCI ; Adama Fall, Monique Sambou et Bocar N’dao qui font partie des jeunes avocats. Tels sont les candidats qui devront s’affronter ce Samedi 18avril pour la finale. Que le meilleur gagne !!

vendredi 17 avril 2009

Pickpocket a bord d'un scooter

Les voleurs de téléphones portables continuent à faire des victimes. Une jeune fille du nom de Betty Fall s’est vue arracher son téléphone portable par deux hommes sur un scooter. L’agression a eu lieu durant la nuit de ce vendredi 10 avril aux environ de 21heures.
La jeune fille qui était de passage au Sacré-Cœur 3 regagnait la Vdn afin de se rendre chez elle a la cité CPI. Juste à quelques mètres de la Vdn, elle entre dans une boutique pour acheter une carte de crédit. Aussitôt fait, elle s’arrête pour entrer son code de recharge. A peine l’a-t-elle validé lorsqu’un scooter s’arrêta brusquement devant elle.
Il y’avait deux hommes à bord de l’engin. Mais avant qu’elle n’ait le temps de réaliser ce que voulaient ces deux messieurs, ils étaient déjà partis avec son téléphone portable que celui qui était à l’arrière lui a extirpé avec force. Les deux hommes s’enfuirent à vive allure.
En les voyant s’éloigner, Betty cria « au voleur ». « Ils m’ont pris mon téléphone » vociférait-elle. Un groupe de garçons qui était assis à la porte de la boutique a essayé de poursuivre les brigands mais malheureusement, ces derniers s’étaient déjà éloignés et donc ils étaient irrattrapables.
Sans délais, une affluence se créa autour de la fille désespérée qui avait les larmes aux yeux. Elle expliquait en sanglots à ceux qui l’entouraient comment elle a été dépouillée de son téléphone tout neuf qu’elle a acquis il ya moins d’une semaine. Dans ce tumulte qui résonnait autour d’elle, d’aucuns tentaient de la consoler avec des paroles réconfortantes et d’autres lui conseillaient de se rendre à la Sonatel dès le lendemain afin résilier son numéro.
Toujours en quête d’un ultime espoir, Betty emprunta un téléphone dans la cohue puis elle composa son numéro. Elle tomba hélas sur sa boite vocale « ils ont déjà jeté la puce » dit-elle sur un ton désolant. Sur ce, elle a commencé à maudire et à traiter les deux malfaiteurs de tous les noms d’oiseaux.
Inconsolable, elle arrêta un taxi tout en regrettant de n’avoir pas relevé le numéro d’immatriculation du scooter, c’à quoi elle n’avait pas pensé sous l’effet du choc a-t-elle argué.
Une mésaventure qu’elle n’oubliera pas de sitôt mais qui lui servira quand même de leçon à l’avenir.

samedi 4 avril 2009

Aguichant défilé en arc en ciel

04avril 1960, 04avril 2009. Le Sénégal vient de fêter la 49ème année de son accession à la souveraineté internationale. La fête s’est déroulée dans une parfaite harmonie et le public a été charmé par la magnificence du spectacle qui a intégré des nouveautés.
A 10h09mn, après le 21ème coup de canon, démarre la cérémonie officielle avec l’arrivée du président de la république suivie du retentissement de l’hymne national. C’est parti pour un spectacle qui va durer deux heures. Avant que ne commence le défilé, nous assistons à la traditionnelle phase de décoration. Un hélicoptère sillonant la tribune officielle en déversant de la poudre aux couleurs nationales a donné le feu vert au défilé.
Sous les ovations du public, les majorettes de l’institution Notre Dame, d’orange et de blanc vêtues ont ouvert le défilé civil sous le rythme des tam-tams avec leur chorégraphie diversifiée. Aussitôt après, les tous petits ont défilé à bord d’un petit train blanc orné de guirlandes multicolores. Ce sera ensuite au tour des écoles de différentes communes d’arrondissement de la région de Dakar d’enrichir le défilé en couleur sous le rythme de la musique principale de la police nationale. Les ministères de la santé, de la jeunesse et du sport ont également apporté leur touche au défilé. Un autre point fort du défilé civil a été le passage des anciens combattants les uns en chaises roulantes les autres à pieds.L e public a salué debout ces acteurs de la lutte pour l’indépendance. La prestation des majorettes du lycée John Fitzgerald Kennedy a clôturé le défilé civil et a ainsi mis fin à la première partie de la cérémonie.
Une partie se termine, une autre commence. Des avions et hélicoptères sillonnant l’atmosphère ont donné le signal du défilé militaire. Démarre ainsi le défilé motorisé avec une série d’engins, de motos, de véhicules, de camions… brillants sous le soleil du 04avril. Vient ensuite les différentes écoles militaires : Prytanée militaire de Saint-Louis, Ecole Militaire de santé, Ecole Nationale des Officiers d’Actives (ENOA), Ecole Nationale des Sous-officiers d’Actives (ENSOA). Des hommes aux drapeaux de l’ONU, de L’union Africaine et de la CEDEAO ont défilé à la suite concrétisant ainsi le service du pays au maintien de la paix. Après ceux-ci, le détachement des forces françaises du Cap-Vert ont défilé pour la première fois.
Le défilé militaire cède la place à celui paramilitaire marqué par le passage des sapeurs pompiers, de la police nationale, du service des eaux et forets, du service d’hygiène, des parcs nationaux et de la douane. L’escadron monté de la gendarmerie avec soixante-dix chevaux blancs a clôturé la commémoration.
La cérémonie prend ainsi fin avec le discours du président de la république qui s’est réjouit du défilé qu’il a qualifié d’inédit. Il a également montré sa satisfaction, selon lui ce défilé a été « un spectacle agréable et plein de signification ».

mardi 31 mars 2009

Vive les vacances

Ah les vacances!!!! depuis que je suis en vacances je ne fais que dormir, dormir, dormir et dormir...... Cool non?? Mais pas que dormir quand meme, je pass aussi beaucoup de temps à regarder des films et à bouffer et àf faire du msn surtout...... Ce sont les vac's non?! fo bien en profiter loooooooool

Mon impression sur les lois sur la société de l'information

C’est bien de réglementer tout ce qui se fait sur l’internet. Les lois sur la société de l’information ont an impact positif dans le domaine de l’informatique. Grace à elles les informations confidentielles des individus sont sécurisées avec la loi sur la protection des données à caractère personnel ce qui constitue un grand privilège pour une sécurité juridique des personnes Physiques et morales. Et cette sécurité est renforcée par la loi sur la cryptologie. De plus, avec l’arrivée de ces lois, toutes les infractions concernant le domaine de l’information et de la communication seront désormais sanctionnées avec la loi sir la cybercriminalité. La sécurité et le cadre juridique nécessaires à l’émergence d’un commerce électronique fiable au Sénégal est maintenant régie avec la loi sur le commerce économique.

lundi 23 mars 2009

Pour bien vivre

Ecouter son coeur, suivre son instinct, agir comme on le sent pour ne rien regretter après. Vivre la vie comme elle vient